BARBIE

Le film "Barbie" de Greta Gerwig est sorti le 19 juillet 2023 dans les cinémas français. Il s'agit d'une première adaptation en prise de vue réelle sur l'univers de la poupée pour la société Mattel. C'est une compagnie qui vend des jouets tels que les célèbres poupées Barbie et Ken qui seront interprétées par Margot Robbie et Ryan Gosling. Nous savons tous que Barbie et Ken (le compagnon) sont les poupées préférées des jeunes enfants. Parce qu'ils sont absolument parfaits, ne présentent aucun défaut et peuvent être ce qu'ils souhaitent. 

Bienvenue à Barbieland !

C'est l'endroit idéal pour voir la vie en rose. Nous savons que Barbie vit dans une maison de rêve sans mur ni porte, ce qui lui permet de dire bonjour depuis sa chambre. Mais nous ne savons pas où vit Ken, cela reste un mystère. Cependant, nous pouvons le retrouver à la plage où des vagues solides s'écrasent sur un sable couleur chair. À leurs yeux, ils ont une vie parfaite ! Jusqu'au moment où Barbie stéréotypée commence à se poser des questions morbides et à devenir humaine. À cet instant, elle ignore qu'elle est sous le contrôle d'un adulte qui éprouve un profond chagrin. Le jour suivant, elle découvre que ses pieds sont plats et qu'elle a de la cellulite. Par conséquent, les autres Barbie lui recommandent de se rendre chez "Barbie Bizarre" car elle trouvera la solution qui lui permettra de retrouver sa perfection. Celle-ci, lui conseille d'aller dans le monde des humains et de retrouver la femme à laquelle elle appartenait.

Sur-le-champ, elle prend la route vers Venice Beach ! Sauf, qu'elle trouve Ken sur la banquette arrière de sa Chevrolet rose. Malgré elle, elle accepte qu'il l'accompagne au cours de son voyage. Une fois sur place, ils attirent l'attention à cause de leur apparence. À ce moment-là, ils décident alors d'entrer dans un magasin pour changer de vêtements, mais ils repartent sans payer. C'est pourquoi la police les arrêtera et fera en sorte que le PDG de Mattel intercepte ses jouets. Dans le même temps, Ken apprend le système patriarcal et l'imposera dans son monde. En revanche, ils sont parvenus à s'emparer de Barbie. D'un seul jet, elle réalise qu'il veut l'enfermer pour toujours dans une boîte. Alors, elle décide de s'échapper et se retrouve devant une dame âgée qui lui indique la sortie, puis elle est sauvée par Gloria et Sacha, sa propriétaire. Dans la voiture, Gloria s'explique en disant qu'elle se trouvait en pleine crise existentielle et qu'elle a commencé à jouer avec la poupée de sa fille, puis à faire part de ses inquiétudes à Barbie. Immédiatement, elles décident d'aller à Barbieland.

Barbie réalise que Ken est à la tête du gouvernement et essaie de persuader les autres Barbie de récupérer l'ancien système. Face à leur refus, Barbie se sent désemparée. Afin de les libérer de l'influence des Ken, Gloria, Sacha,  Allan et Barbie Bizarre tiendront un discours féministe. De part et d'autre, la guerre est déclarée ! Après tout ce désordre, elles réussissent à reprendre le système en main et à modifier la nouvelle Constitution qui promouvait la supériorité masculine. Maintenant que tout est en ordre, Barbie et Ken présentent leurs excuses et admettent avoir eu tort. Ken déplore de n'avoir ni identité ni raison sans Barbie. Elle l'encourage à trouver sa propre identité. Et Barbie stéréotypée, ne désire plus être une poupée. Soudainement, l'esprit de la co-fondatrice de Mattel, Ruth Handler apparaît et précise que l'histoire de Barbie n'a pas de fin définie et que son histoire est en constante évolution qui va au-delà de ses origines. Par conséquent, Barbie veut devenir un être humain, même s'il cause la mort. Ainsi, elle repart dans le monde des humains sous le nom de Barbara Handler.

Personnellement, j'ai trouvé le film ennuyeux dans le sens où il s'agit d'une lutte entre les femmes et les hommes. Par contre, j'ai adoré la façon dont Barbie se déplace, se nourrit et se lave parce que c'est exactement comme ça que les jeunes enfants jouent à la poupée Barbie.

En définitive, les inégalités entre les femmes et les hommes existent bel et bien, il faut que chacun ait les mêmes droits et la même reconnaissance.